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    Vanessa

    Van Dawhell

    ft. Alyssa foley (The end of the F***ing world)
    “Do you have any coffee?'...'It stunts my growth, and I'm afraid of death.”

    Informations générales

    xxx

    nom Van Dawhell

    prénom Nessa, Vanessa sur ses papiers d’identité, Ness selon les préférences de chacun.

    âge 20 ans

    nationalité Néerlandaise

    statut marital célibataire

    profession étudiante en langues

    crédit icon : Ludmila-Cera-Foce (deviantart)

     

    coupure de courant

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    alignement chaotic neutral

    la coupure Son père a perdu son travail avec la coupure et ne pouvait plus subvenir aux besoins de ses deux enfants. Nessa a donc retardé ses projets d’études pendant un an pour travailler à temps plein et mettre de côté pour déménager seule à Rock Springs et aller à l’université là bas. Avec la crise entrainée par la coupure, elle ne peut pas aller en cours mais elle ne peut pas retourner chez elle non plus.

    district aucun

     

    Compétences & capacités

    xxx

    cuisine son père étant piètre cuisinier, elle a du apprendre toute seule pour manger autre chose que des plats à décongeler.

    langues elle parle anglais, néerlandais et étudiait le chinois et l’italien en cours. Elle aime bien insulter les gens en italien d’ailleurs, la douceur du son masque un peu la violence du mot

    mécanique encore un héritage paternel, elle a grandit entourée de moteurs et de vielles choses un peu cassées, elle sait mettre les mains dans le cambouis mais ça fait bien longtemps qu’elle n’a pas eu l’occasion de le faire.

    histoire

    xxx

    (where were you when I needed you ?) — On a souvent dit à Nessa qu’elle a les yeux de sa mère, elle aurait préféré avoir sa présence, ou même de ses nouvelles, mais apparement ce genre de choses ne se contrôle pas. Sa génitrice est partie juste après la naissance de sa petite soeur, laissant une place vide sur les photos de famille et tout le poids du monde sur les épaules de Nessa.

    (good morning America) — Les pays bas étant trop chers pour un père célibataire avec deux enfants, M. Van Dawhell annonça un beau matin à ses deux filles qu’ils partaient en aux États-Unis. Nessa quitta donc les champs de tulipes et les vastes étendues vertes de sa campagne, traversa l’océan pour s’installer dans le Wyoming.

    (see the cup half full, and drink it) — Enfant introvertie mais s’émerveillant facilement, elle n’a jamais vraiment eu du mal à se faire des amis, souvent résultants d’accidents, comme la fois où elle était tombée de vélo à 7 ans et qu’elle avait atterrit la tête la première dans le jardin de ses voisins, essayant de retenir ses larmes devant leur fils. Son père lui avait toujours dit de « voir du positif même quand c’est la merde, dis toi que ça peut toujours être pire », avec du recul, Nessa avait gagné des points de suture et un très bon ami ce jour là.

    (all the bright places) — Toujours un peu perdue dans ses pensées, le sourire aux lèvres, avide de grands espaces, la jeune fille a commencé à se sentir à l’étroit dans sa chambre, dans sa maison, dans son quartier. Allant toujours plus loin, à pied, à vélo ou en voiture, seule ou accompagnée, le vent dans les cheveux, des litres de café dans des thermos des bouquins sur la faune et la flore alourdissant son sac à dos. Des fois elle disparaissait pendant plusieurs jours, envoyant 2 ou 3 sms pour que personne ne s’inquiète. Depuis la coupure, s’assure d’être systématiquement accompagnée pour ses petites escapades, même si il n’y a plus grand monde qui veut venir avec elle. 

    (is it just you and me and the wreckage of the world ?) — Sa mère lui manque parfois, pas sa personne en elle-même mais le rôle qu’elle aurait pu jouer dans vie. Son père a toujours été très présent, ses gestes d’affection discrets mais incontestables. Mais c’est pas pareil, elle a l’impression de s’être débrouillée toute seule pour grandir, d’être un peu bancale, comme si il lui manquait un truc. Elle dissimule tout ça derrière des sourires et des plaisanteries comme on met la poussière sous un tapis.

    (if i ask you if you love me, i hope you lie to me) — Quand Nessa aime quelque chose, elle l’aime beaucoup. Quand Nessa aime quelqu’un, elle l’aime parfois un peu trop. Chute sans filet dans les bras de connards qui se succèdent, se lassent et finissent par se barrer, laissant un goût amer de déception, une énième sensation d’abandon et des attentes à la baisse pour le prochain. À 17 ans, il y en a même un qui lui a laissé un bébé, minuscule, dans le creux de son ventre. Symbole d’une histoire bancale, héritage d’un garçon qui n’avait pas voulu lui rendre son amour, elle n’a pas pu le garder, n’ayant pas les moyens et étant terrifiée à l’idée d’être une mauvaise mère, elle n’avait jamais eu d’exemple à suivre après tout. Le monde parait trop grand quand on a 17 ans, elle a retenu ses larmes sur le chemin de la clinique, s’autorisant à pleurer une fois seule le soir, roulée en boule sur la banquette arrière de sa voiture.

    (i know the world’s a broken bone, but melt your headaches, call it home) — Nessa n’a jamais été foncièrement malheureuse, sa vie serait bien morne sans les hauts et les bas qui la compose. Même si elle aurait bien aimé que les bas soient un peu moins bas, un peu moins rudes. Mais après tout elle se dit que ça peut toujours être pire. Elle a une famille, petite et un peu fêlée mais qu’elle adore, elle s’est installée toute seule dans une ville inconnue, comme une adulte, elle a un toit et des amis. Elle se dit qu’elle n’a pas vraiment de quoi se plaindre. Et parfois elle se dit qu’elle se ment un peu à elle-même.

     

    relations

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    Prénom P² Nom — écrire ici

     


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